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Pantôches

« Comme je me suis insurgé contre l’Algérie française, je m’insurge contre l’Algérie arabo-islamique. On ligote un peuple par uneClownforlaragiddings langue et une religion. Je ne suis ni arabe ni musulman, je suis algérien ». Kateb Yacine.

Sans le luciférien Boumediene qui, contre les communistes et plus précisément les kabyles berbéristes, les brandissait en sceptre de sa terreur, les islamistes n’auraient été que de vulgaires désabusés incapables de s’animer, dépourvus de toutes les facultés d’organisation à l’instinct religieux.

C’était pendant ses orgies au penchant canaille drapé de l’horrible fonction du FLN que le Fis -son fils naturel- débutait son évolution embryonnaire dans le ventre d’une Algérie engraissée par l’imposture.

À sa mort, ces mêmes islamistes se seraient tenus eux-mêmes le bec dans l’eau et nous aurions eu des bulles de plaisanteries pour eux si Chadli, l’analphabète trilingue, n’avait pas traduit l’État algérien en femelle vivipare pour la préparer à l’accouchement d’un monstre à qu’il a donné immédiatement acte de maturité et certificat de viabilité.

L’histoire nous enseigne qu’un islamiste devient dangereux à partir de l’instant où on lui concède le moindre droit à l’expression dans la sphère publique.

Perfectionner le mythe d’une probable intégration de l’islamisme dans le domaine de la démocratie est une dérive, un faux pas lourd de conséquences.

Et il se trouve qu’en Algérie tous les partis démocrates se sont ralliés à ce postulat : s’associer à l’islamisme pour écarter le clan de Bouteflika puis retourner la situation à leur avantage le moment venu.

Que dalle !

Qu’ont-ils à espérer des islamistes, protégés de Bouteflika, qui présentent à l’humanité, en guise d’offrande, le glas sonné des purgatoires terrestres des plus effrayants ?

Bouteflika a été élu sans avoir fait de campagne et jamais ne sera élu président un non islamiste.

Le prochain pantin sera un produit de vitrine du régime de Bouteflika.

Depuis que l’honneur est souillé et que les consciences ont accepté la compromission, depuis que la mémoire des résistants est enfermée dans un donjon comme une honte qu’il faut cacher, il n’y a plus d’Algérie, il n’y a que des terres appendices du Qatar et de l’Arabie Saoudite que leurs tortionnaires de cheikhs nomment Bouteflika. Des terres que les peuples amazighs doivent savoir libérer.

Djaffar Ben.

djaf

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