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Le Dieu du pognon

« celui qui vit par l’épée périra par l’épée »
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…. Oui j’ose!

J’ose invoquer la Bible.

La violence en Islam et « naturellement » en Algérie semble faire partie intégrante d’une « identité abstraite » qui fait confondre le bien et le mal.

Les seules barricades que des musulmans auto proclamés prophètes 2.0 de la planète Terre s’empressent d’escalader sont celles du reniement de soi en s’affrontant les uns les autres, surtout les uns contre les unes..Mais jamais contre les urnes qui ont le don de toujours faire sortir une divine surprise pour adoucir notre salut.

Le système politique algérien , né d’un coup de force, donc dans la violence, perdure et parvient à se « renouveler » par une suite de tressaillements qui parfois laissent croire à son agonie.

Il n’en est rien.

Ce système puise son énergie dans un carburant fossile inflammable et explosif dont le pouvoir possède une quantité phénoménale pour ne pas dire éternelle.

C’est d’ailleurs ce qui est visé par les pseudo oligarques de l’import import qui se sont succédés depuis 1/2 siècle; faire durer le plaisir dans une jouissance perverse.

Hier, Tizi Ouzou, Ghardaia, aujourd’hui Bejaia ravivent la flamme de la haine.

Tous les prétextes sont « bons » pour casser du berbere qu’il soit mozabite ou Kabyle ou targui sans oublier l’arabe turco kouloughli en appuyant religieusement sur la gâchette de l’Islam.

La crise qui secoue Bejaia n’est pas nouvelle. Elle est même nécessaire car elle proroge la durée de vie d’un système qui ne se résout pas à se faire harakiri.

Le danger est dans une explosion qui atomisera la composante d’une société qui oscille entre le dieu du coran et le dieu du pognon.

 

Aziz Farès

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