Brigades
Les islamistes sont parmi nous.
Ils ont réussi presque sans coup férir à ébranler la résistance de la société québécoise pétrie de valeurs humanistes.
La technique de ces brigadiers de la vertu consiste à complexer le Québec , et l’Occident de manière générale, en l’affublant de « l’infâme » qualificatif d’islamophobe.
Ce terme est utilisé par un effet miroir , conjointement avec l’antisémitisme dont ils se réclament sans honte. Ils utilisent en fait des mécanismes très efficaces qui figent la société dans un réflexe d’auto justification.
Je connais bien ce problème pour l’avoir subi dans mon pays d’origine, l’Algérie que j’ai quitté afin de pouvoir vivre dans un pays libre, tolérant et ouvert.
Dans les pays musulmans, les citoyens sont les premières victimes d’un arbitraire qui ne se dissimule plus et affiche des convictions douteuses sous le voile opaque de la religion.Les intellectuels ont été la cible privilégiée de chefs de gangs mafieux. Au tour maintenant de tous ceux et celles qui oseraient s’élever contre leur volonté présentée comme celle de Dieu.
La liberté qu’ils réclament avec vigueur au Québec est restée lettre morte dans leur pays où l’individu n’existe qu’à travers une communauté illusoire qui en réalité ne partage rien.
Si les femmes sont les premières victimes d’une dictature de la pensée , les enfants, forces de l’avenir, sont conditionnés par une école sinistrée qui appuie son enseignement sur les sciences( dites) islamiques. La référence à la charia se veut omniprésente mais surtout omnipotente et se fait souvent en se basant sur une interprétation fantaisiste du Coran dont la compréhension nécessite une initiation inaccessible au profane.
La lecture du texte coranique est loin d’être mécanique car elle implique une conscience éveillée à la spiritualité dont les islamistes se méfient car elle ouvre la porte à la pensée libre qui conteste la croyance aveugle.
Le gouvernement du Québec traite la question de la radicalisation avec des pincettes sans vouloir comprendre que les mâchoires d’un piège se referment lentement mais inexorablement sur tous les citoyens épris de cette liberté qui ne figurait pas au programme de l’école buissonnière que les islamistes ont fréquenté .