Point
Le débat est essentiel lorsqu’il est construit sur des arguments et non parasité par des arguties ou des propos de sophistes.
Ce n’est pas le débat,la contradiction ni les contradicteurs qui gênent mais plutôt le « non-débat », résultat d’une frustration inquiétante portée par une méconnaissance de textes( sacrés ou autres). Et qui éloignent de notre propre pensée.
Peut-on contraindre quiconque à penser ou dire comme SOI ? Ne faut-il pas re-questionner ses certitudes en engageant avec soi-même un débat déjà tronqué.
Ne vaut il mieux pas alors se réorienter en tenant la boussole de sa propre vie.?
Se prendre en main, se prendre par la main, doucement, avec affection , pour cheminer tranquillement sur les sentiers de la vie.
Respecter le rythme de notre pensée, s’arrêter pour sentir les effluves de notre histoire, apprécier les saveurs de notre existence.
Car nous existons. Par nous. Avant tout .Au delà même de ce que nous croyons.
Mettre un point final à un texte, un récit… est ce utile, lorsque l’histoire est sans fin… ? tant que nous sommes vivant(s).
Nous écrivons sans cesse la même histoire. Avec des mots, des virgules, des interrogations, des points virgules, des guillemets, …des points qui nous suspendent pendant un instant d’éternité au bord d’une immensité.
Continuer à écrire sans cesser de réfléchir à ce but déjà atteint sans encore le savoir. Sans mettre un (.) point final… Ce point… qui contient … « tout »